Benutzer:Christof46/Spielwiese

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Kiabi

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Rechtsform Aktiengesellschaft (S.A.)
Gründung 1978
Sitz Hem, Frankreich Frankreich
Leitung Patrick Stassi
Mitarbeiterzahl ca. 10.000 (2023)
Umsatz € 2,2 Milliarden (2023)
Branche Textileinzelhandel
Website kiabi.com
Stand: 2024

Kiabi ist eine französische Einzelhandelskette im Bekleidungsbereich. Analog zum Slogan „la mode à petit prix“ (deutsch: Mode zu kleinen Preisen) bietet das Unternehmen Konfektionsbekleidung für die ganze Familie zu attraktiven Preisen an. Zur Kette gehören über 560 Läden in 23 Ländern (Stand 2024).[1] Eigentümer des Unternehmens ist die Familien Holding Association Familiale Mulliez.

Kiabi ouvre son premier magasin à Roncq, dans le Nord, en 1978[2]. C'est la première entreprise à se lancer dans la vente de vêtements à bas prix[3]Vorlage:,[4].

L'enseigne compte Vorlage:Unité de vente en 1997[5].

L'entreprise s'installe en 1993, en Espagne, puis trois ans plus tard en Italie[6] et enfin en Russie depuis 2008[7].

Kiabi Kids, enseigne vouée à l'habillement de l'enfant de Vorlage:Unité, voit le jour le Vorlage:Date à Angers. De nouvelles ouvertures sont alors programmées dans d'autres villes[8].

En 2000, Kiabi s'affiche en pionnier du web avec son site de commerce en ligne. Vorlage:Quand, il couvre 27 pays dans le mondeVorlage:Référence nécessaire.

En Vorlage:Date-, 56 stylistes travaillent pour la marque[9].

En Vorlage:Date-, Kiabi déclare s'engager à viser une production durable d'ici à 2030 tout en maintenant sa politique de petits prix[10]Vorlage:,[11].

En août 2020, Kiabi ouvre son Vorlage:1er Vorlage:Quoi consacré à la seconde main[12], puis lance son site pour ce même domaine, Seconde Main by Kiabi.

En Vorlage:Date, Kiabi dévoile son slogan « Toujours plus pour les familles »[13]

En juin 2024, le groupe inaugure une première boutique au Koweït[14].

Signification du nom « Kiabi »

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À ses débuts, Kiabi a failli s’appeler « La grande armoire ». Les fondateurs souhaitaient quelque chose de court et qui reste à l’esprit. Ils ont opté pour Kiabi qui ne voulait rien dire à l’étranger, mais qui disait tout simplement « qui habille »[15].

Depuis 1978 et dans le cadre de sa mission de « Faciliter la vie des familles », Kiabi accompagne les familles dans tous leurs moments de vie en proposant une mode accessible, pour toutes les morphologies et toujours à petits prix[16].

Kiabi développe depuis 2015 des collections mode destinées aux enfants et adultes en situation de handicap[17], et une gamme de lingerie post-opératoire pour les femmes atteintes d’un cancer du seinVorlage:Secsou. En mai 2015, Kiabi lance le site SoaSoa.fr, dédié à la mode pour la femme en surpoids[18].

Critiques sur la mise en place de vidéosurveillance algorithmique

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En Vorlage:Date-, Streetpress affirme que des magasins des enseignes Kiabi, ainsi que d'autres enseignes, ont déployé illégalement la solution de vidéosurveillance algorithmique de l'entreprise française Veesion, qui utilise l'intelligence artificielle pour surveiller le comportement de leur clientèle[19]. Streetpress souligne que la loi du 19 mai 2023 relative aux jeux olympiques et paralympiques de 2024 n'autorise la vidéosurveillance que dans les Vorlage:Citation[20]Vorlage:,[19] , ce qui exclut les magasins et la collecte de données biométriquesVorlage:NoteVorlage:,[19]. Cela ne respecte pas non plus le consentement selon la CNIL[19]. L'association La Quadrature du Net affirme aussi que l'État a rappelé aux professionnels du secteur l'illégalité de la vidéosurveillance algorithmique en supermarché[21]. Le Vorlage:Date, le Conseil d'État rejette la requête de Veesion de suspension de la mise en conformité exigée par la CNIL et de condamnation aux dépens de la CNIL à Vorlage:Unité, car il estime que sa solution de vidéosurveillance pour détecter le vol à l'étalage n'est pas conforme au Règlement général sur la protection des données[22]Vorlage:,[23].

Détournement de fonds

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En 2024, une ancienne employée est soupçonnée d'avoir détourné Vorlage:Euro[24]Vorlage:,[25] à l'entreprise. Elle est arrêtée à Figari et placée en détention provisoire pour escroquerie en bande organisée le Vorlage:Date[26].

Performances économiques

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En 1997 le chiffre d'affaires est de Vorlage:Unité de francs[5]. En 2008, Kiabi réalise un chiffre d'affaires de Vorlage:Unité d'euros[27]. En 2014, ce chiffre avoisine les Vorlage:Unité d'euros[28]. En 2018, ce chiffre d'affaires s'élève à Vorlage:Unité d'euros, mais la croissance de l'entreprise ralentit, passant de 8,7 % de croissance en 2014 contre seulement 2,1 % en 2018[29]. En 2022 le chiffre d'affaires est de 2,2 milliards d'euros[30].

Stratégie managériale

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Selon Challenges, le groupe a mis en place une stratégie managériale qui permet de mettre en avant et de récompenser les idées de ses collaborateurs en interne[31].

Notes et références

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Vorlage:Références

Articles connexes

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Vorlage:Liens Vorlage:Autres projets

Vorlage:Légende plume

Vorlage:Palette Vorlage:Portail

Catégorie:Association familiale Mulliez Catégorie:Entreprise fondée en 1978 Catégorie:Entreprise ayant son siège dans le département du Nord Catégorie:Entreprise de l'habillement ayant son siège en France

Brücke über den Dourdou

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Brücke über den Dourdou
Brücke über den Dourdou
Brücke über den Dourdou
mittelalterliche Brücke über den Fluss Dourdou
Offizieller Name Pont sur le Dourdou
Nutzung Fußgängerbrücke
Überführt Dourdou de Conques
Ort Conques-en-Rouergue
Konstruktion Bogenbrücke
Anzahl der Öffnungen 5 Bögen
Fertigstellung 14. Jahrhundert
Lage
Koordinaten 44° 35′ 54″ N, 2° 23′ 33″ OKoordinaten: 44° 35′ 54″ N, 2° 23′ 33″ O
Christof46/Spielwiese (Okzitanien)
Christof46/Spielwiese (Okzitanien)

Die Brücke über den Dourdou ist eine mittelalterliche Brücke über den Fluss Dourdou in der französischen Gemeinde Conques-en-Rouergue im Département Aveyron, Region Okzitanien. Sie ist Teil der historischen Via Podiensis, einer Variante des französischen Jakobswegs. Die im 14. Jahrhundert erbaute Brücke steht seit 1930 unter Denkmalschutz (Kategorie Base Mérimée),[32] sie wird zudem seit 1998 als Teil des französischen Jakobswegs als UNESCO-Welterbe gelistet.[33]

Die aus Sandstein erbaute Brücke besteht aus fünf Bögen mit unterschiedlichen Größen. Dominant ist der große Hauptbogen mit seinem Buckel, der die Flussmitte überspannt. Westlich davon hat die Brücke drei Bögen und östlich einen Bogen. Die Pfeiler sind durch massive Eisbrecher oberstromseitig geschützt. Eine schmale mit Schiefersteinen gepflasterte Straße, die von beiden Seiten zum Hauptbogen ansteigt, führt über die Brücke. Die Brücke dient heute nur noch dem Fußgänger- und Fahrradverkehr.[34] Die Brüstungen auf beiden Seiten bestehen ebenfalls aus Natursteinen. Die Regenentwässerung des Wegs erfolgt über eine Rinne in der Mitte.

In der Gemeinde Conques-en-Rouergue steht die im 12. Jahrhundert erbaute romanische Klosterkirche Sainte-Foy. Das massive Gebäude beherrscht das Erscheinungsbild der kleinen Gemeinde. Der Weg von der Brücke zur Kirche, die ein Etappenziel auf dem französischen Jakobsweg ist, beträgt nur wenige hundert Meter und gehört zu einem der wichtigen Erlebnisse auf der Pilgerfahrt.

Der offizielle Name der Brücke lautet „Pont sur le Dourdou“ (deutsch: Brücke über den Dourdou). Fälschlicherweise spricht man oft von der „Pont romain“ (deutsch: Römische Brücke). Die Brücke wurde allerdings im Mittelalter und nicht zur Zeit des Römischen Reichs erbaut, auch wenn nicht auszuschließen ist, dass es Vorgängerbauwerke gab. Die Bezeichnung „romain“ ist vielmehr eine Abwandlung des okzitanischen Worts „Romièu“, was Pilger bedeutet. So hat sich auch der Begriff „Pilgerbrücke“ gebildet, da sie Teil des französischen Jakobswegs ist.[35]

Einzelnachweise

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  1. Notre Histoire. Kiabi Website, abgerufen am 8. November 2024 (französisch).
  2. Vorlage:Harvsp.
  3. Vorlage:Harvsp.
  4. Vorlage:Harvsp.
  5. a b Kiabi vise les 100 magasins en l'an 2000. Sur le site lsa-conso.fr, consulté le 12 novembre 2014.
  6. Vorlage:Harvsp.
  7. Vorlage:Harvsp.
  8. Kiabi Kids ouvre son premier magasin à Angers, sur le site lsa-conso.fr, consulté le 27 novembre 2014.
  9. Vorlage:Article
  10. Vorlage:Lien web
  11. Vorlage:Lien web
  12. Vorlage:Article
  13. Vorlage:Article
  14. Vorlage:Lien web
  15. Vorlage:Lien web
  16. Vorlage:Article
  17. Vorlage:Article
  18. Vorlage:Lien web
  19. a b c d Vorlage:Lien web
  20. Article 10 de la Vorlage:Légifrance relative aux jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 et portant diverses autres dispositions (1)
  21. Vorlage:Lien web
  22. Vorlage:Lien web
  23. Vorlage:Lien web
  24. Vorlage:Lien web.
  25. Vorlage:Lien web.
  26. Vorlage:Lien web.
  27. Vorlage:Harvsp.
  28. Vorlage:Article.
  29. Kiabi lance un site de vente de seconde main, Les Échos, 28 juin 2019 (consulté le 2 juillet 2019 sur le site des Échos)
  30. Vorlage:Article
  31. Vorlage:Lien web
  32. Pont sur le Dourdou. Ministère de la Culture, abgerufen am 3. November 2024 (französisch).
  33. Le patrimoine UNESCO en Aveyron. Le chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle d'Aubrac à Conques en Aveyron, abgerufen am 3. November 2024 (französisch).
  34. Bridge over the Dourdou. around.us, abgerufen am 6. November 2024.
  35. Le pont départemental des romieus sur le Dourdou à Conques. Chemins de Compostelle, abgerufen am 4. November 2024 (französisch).
Commons: Pont sur le Dourdou – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien


[[Kategorie:Conques-en-Rouergue]] [[Kategorie:Jakobsweg in Frankreich]] [[Kategorie:Bogenbrücke|Valentre]] [[Kategorie:Steinbrücke|Valentre]] [[Kategorie:Mittelalterliche Brücke]] [[Kategorie:Brücke in Okzitanien]] [[Kategorie:Bauwerk im Département Aveyron]]

Eliezer Masliah

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Eliezer Masliah (* 1958 oder 1959)[1] ist ein Mediziner, der als Forscher auf dem Gebiet der Neurowissenschaften tätig ist. Mit seinen Arbeiten, die sich mit der Biologie des Alterns, insbesondere mit den Krankheiten Parkinson und Alzheimer beschäftigen, hat er sich in Fachkreisen einen bekannten Namen gemacht.[2] Im September 2024 berichtete die Zeitschrift Science über Untersuchungen, nach denen ein erheblicher Teil seiner umfangreichen wissenschaftlichen Veröffentlichungen Manipulationen und andere Formen des Fehlverhaltens enthielten.[1]

Ausbildung und Werdegang

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Masliah studierte Medizin an der Nationalen Autonomen Universität von Mexiko und machte dort 1982 seinen Abschluss. Anschließend absolvierte er eine vierjährige Facharztausbildung in Pathologie am Staatlichen Gesundheitsinstitut in Mexiko-City. 1989 erhielt er ein Stipendium für Neuropathologie an der University of California, San Diego. Er arbeitete dort am Institut für Neurowissenschaften und Pathologie unter der Leitung von Bob Terry. Später erhielt er einen Ruf als Professor am selben Institut und wurde zusätzlich Leiter der Abteilung für Autopsie an der Universitätsklinik.[3] Er beschäftigte sich dort mit der Untersuchung der molekularen Mechanismen bei der synaptischen Degeneration im Fall von Parkinson sowie von Alzheimer und er entwickelte entsprechende Behandlungsmethoden.

2016 wurde er vom National Institutes of Health (NIH), einer Behörde des US Gesundheitsministeriums, zum Leiter der Abteilung für Neurowissenschaften ernannt. Zu den Schwerpunkten gehört die Untersuchung der Mechanismen, die zu den Krankheiten Alzheimer und Parkinson führen, insbesondere hat er sich mit α-Synuclein Proteinen beschäftigt. Die Abteilung gehört zum National Institut on Aging (NIA).[3] Die Abteilung wurde in den letzte fünf Jahren mit einem ungewöhnlich hohen Budget von insgesamt 2,6 Mrd. US-$ ausgestattet.[1] Mit rund 800 wissenschaftlichen Veröffentlichungen gehört Masliah zu den oft zitierten Wissenschaftlern auf seinem Spezialgebiet, auch stützen sich mehrere pharmazeutischen Zulassungsanträge auf seine Arbeiten.[4]

Vorwürfe wegen wissenschaftlichem Fehlverhalten

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Nachdem erste Zweifel aufkamen, hat die Zeitschrift Science eine Untersuchung der Veröffentlichungen von Masliah durch mehrere Fachleute auf freiwilliger Basis prüfen lassen. Ergebnis ist ein 300seitiges Dossier, das auf der Grundlage seiner zwischen 1997 und 2023 erstellten Arbeiten an 132 Stellen ein wissenschaftliches Fehlverhalten ausweist. Die Vorwürfe beinhalten Unregelmäßigkeiten bei Bildern und Daten. Bilder wurden manipuliert, Western Blot Dokumente wurden gefälscht, Bilder aus früheren Untersuchungen wurden in anderem Zusammenhang erneut verwendet.[1] Anzahl und Umfang der Manipulationen lassen eine systematisches Vorgehen vermuten und können nicht als Zufälligkeit gewertet werden.

Die Kontroverse umfasst Arbeiten, die klinische Studien beeinflusst haben, wie etwa solche im Zusammenhang mit dem experimentellen Parkinson-Medikament Prasinezumab. Mehrere für die Entwicklung des wissenschaftlichen Forschungsprojekts grundlegende Arbeiten wurden wegen Bildmanipulationen bemängelt. Auch Studien zu Medikamenten wie Cerebrolysin, einem Alzheimer-Medikament, basierten auf fragwürdigen Daten aus Masliahs Labor.

Vor Veröffentlichung des Science Zeitschriftartikels hat die Redaktion elf renommierte Wissenschaftler kontaktiert, die sich alle überrascht und schockiert zu dem Fehlverhalten geäußert haben. Der Biochemiker Prof Christian Haass von der LMU wird zitiert: „Ich bin sprichwörtlich vom Stuhl gefallen“.[1] Masliah hat die Ergebnisse bisher nicht öffentlich kommentiert. Im September 2024 bestätigte das NIH, dass Masliah nach einer internen Untersuchung derzeit nicht mehr die Abteilung für Neurowissenschaften am NIA leitet.[5]

Betrug und Fälschung in der Wissenschaft

Einzelnachweise

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  1. a b c d e Charles Piller: Picture imperfekt. In: Science. Band 385, Nr. 6716, 2024, S. 1406–1412, doi:10.1126/science.z2o7c3k, Volltext.
  2. Best Scientists - Neuroscience. In: research.com. Abgerufen am 14. Oktober 2024 (englisch).
  3. a b Eliezer Masliah to head NIA's Division of Neuroscience. In: NIH. 18. Juli 2016, abgerufen am 11. Oktober 2024 (englisch).
  4. Tom Kern: Führender Alzheimer-Forscher im Verdacht, in mehr als 100 Publikationen gefälscht zu haben. In: Süddeutsche Zeitung. 10. Oktober 2024, abgerufen am 13. Oktober 2024.
  5. NIH Statement on Research Misconduct. In: National Institutes of Health. 25. September 2024, abgerufen am 28. September 2024 (englisch).

Achtung: Der Sortierungsschlüssel „Masliah, Eliezer“ überschreibt den vorher verwendeten Schlüssel „Brücke über den Dourdon“.

[[Kategorie:Wissenschaftliche Fälschung]] [[Kategorie:Mediziner (20. Jahrhundert)]]

UN Zukunftspakt

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Der UN Zukunftspakt ist ein Abkommen, dass von der Vollversammlung der Vereinten Nationen anlässlich des Zukunftsgipfels am 22./23. September 2024 verabschiedet worden ist. Es beinhaltet 56 Ziele. Der Pakt zielt darauf ab, Prioritäten und Maßnahmen zur Bewältigung der aktuellen globalen Herausforderungen festzulegen. Das Dokument wurde unter der Führung von Deutschland und Namibia ausgehandelt. Bei 143 Zustimmungen hat es eine große Mehrheit der 193 Mitgliedstaaten verabschiedet.

In der Präambel wird ausgeführt, dass wir uns in einer Zeit tiefgreifender globaler Veränderungen befinden. Wir sind zunehmend katastrophalen und existenziellen Risiken ausgesetzt, die vielfach eine Folge unseres eigenen Handelns sind. Wenn wir unseren Kurs nicht ändern, so steht in der Präambel, bestehe die Gefahr, in eine Zukunft mit anhaltenden Krisen und Zusammenbrüchen zu laufen. Weiterhin werden im Dokument die gleichgewichtigen drei Säulen der Vereinten Nationen bestätigt:

  • Nachhaltige Entwicklung,
  • Frieden und Sicherheit,
  • Menschenrechte

und es wird die große Bedeutung der multilateralen Institutionen betont, insbesondere die der Vereinten Nationen. Diese Institutionen müssen gestärkt werden, um mit einer sich verändernden Welt Schritt zu halten. Der Zukunftspakt besteht aus fünf Teilen sowie zwei Anhängen:[1][2][3][4]

Teil 1: Nachhaltige Entwicklung und Finanzierung der Entwicklung

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Die 2015 von der Generalversammlung der UN beschlossene Agenda 2030 wird nochmals bestätigt und es wird angemerkt, dass die Umsetzung der darin beschlossenen 17 Ziele (kurz „SDGs“ genannt)[Anmerkung 1] für eine sozial, wirtschaftlich und ökologisch nachhaltige Entwicklung beschleunigt werden muss. Besonders wichtig sind die Ziele zur Bekämpfung von Hunger und Armut. Um die genannten Ziele zu erreichen, muss ebenfalls deren Finanzierung, insbesondere in Entwicklungsländern, sicher gestellt werden. Das multilaterale Handelssystem darf nicht eingeschränkt werden, es wird als Motor für nachhaltige Entwicklung bewertet. Das Übereinkommen von Paris, das die 1,5°-Begrenzung des globalen Temperaturanstiegs als Ziel beinhaltet, wird erneut bestätigt.

Teil 2: Frieden und Sicherheit auf internationaler Ebene

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Die diplomatischen Anstrengungen, um Frieden und Gerechtigkeit herzustellen sowie zu sichern, müssen verstärkt werden. Man ist sich einig, dass die Zivilbevölkerung bei militärischen Konflikten geschützt werden muss. Menschen in humanitären Notlagen muss geholfen werden. Terrorismus in jeglicher Form wird verurteilt. Die nukleare Abrüstung muss weiter verfolgt werden. Auch werden die drohenden Gefahren von autonomen Waffensystemen und Künstlicher Intelligenz im militärischen Bereich angesprochen.

Teil 3: Wissenschaft, Technologie und Innovation sowie digitale Zusammenarbeit

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Wissenschaft, Technologie und Innovation haben das Potenzial, die Verwirklichung der Ziele der Vereinten Nationen in allen drei Säulen zu beschleunigen. Dies gilt auch für Entwicklungsländer, deren Potentiale dabei nicht vernachlässigt werden dürfen. Die Unterzeichner sind sich der Chancen und Risiken bewusst, die Wissenschaft, Technologie und Innovation für den Schutz und die Verwirklichung der Menschenrechte mit sich bringen. Die Rolle der Vereinten Nationen bei der Förderung der internationalen Zusammenarbeit in Wissenschaft, Technologie und Innovation soll gestärkt werden.

Teil 4: Jugend und künftige Generationen

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Der Pakt betont, wie wichtig es ist, dass Kinder und Jugendlichen einen gleichberechtigen Zugang zu allen öffentlichen Einrichtungen haben, insbesondere zu Gesundheit, Bildung und sozialer Absicherung. Sie müssen frühzeitig in gesellschaftliche Prozesse sowohl auf nationaler als auch auf internationaler Ebene einbezogen werden.

Teil 5:Umgestaltung der globalen Regierungsführung

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Die heutigen multilateralen Systeme wurden nach dem Zweiten Weltkrieg geschaffen und haben in den letzten 80 Jahren bemerkenswerte Erfolge erzielt. Aber sie stehen unter Druck, um auch die Zukunft unserer internationalen Ordnung zu gewährleisten. Die Unterzeichner des Pakts sind sich einig, dass Maßnahmen erforderlich sind, um den Multilateralismus zu stärken, neu zu beleben und die internationale Zusammenarbeit zu vertiefen. Insbesondere ist eine Reform des Sicherheitsrats erforderlich, um ihn repräsentativer, integrativer, transparenter, effizienter, effektiver, demokratischer und rechenschaftspflichtiger zu machen. Das Abkommen hält außerdem eine Reform der internationalen Finanzarchitektur für notwendig, um das multilaterale System zu stärken, die nachhaltigen Entwicklungsziele zu erreichen und den Bedürfnissen der Entwicklungsländer gerecht zu werden. Der Weltraumvertrag von 1967 wird nochmals bestätigt und es wird vereinbart, dass die Erforschung und Nutzung des Weltraums für friedliche Zwecke und zum Wohle der gesamten Menschheit zu erfolgen hat. Ein Wettrüsten im All wird abgelehnt.

Annex I: Globale Digitalisierungs-Übereinkunft

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Digitale Technologien bieten große Vorteile für das Wohlergehen und den Fortschritt von Menschen und Gesellschaften sowie für unseren Planeten. Durch sie können die SDGs schneller erreicht werden. Dazu ist eine verstärkte internationale Zusammenarbeit erforderlich, um keine digitale Kluft zwischen und innerhalb von Ländern entstehen zu lassen. Unser Ziel ist eine integrative, offene, nachhaltige, faire, sichere und geschützte digitale Zukunft für alle und unter Beachtung der Menschenrechte. Desinformation und Online-Verletzungen müssen bekämpfte werden. Es müssen Ansätze für eine verantwortungsvolle, gerechte und interoperable Datenverwaltung gefördert werden. Es bedarf einer internationalen Regulierung, um sicherzustellen, dass die Möglichkeiten der Künstlichen Intelligenz zum Wohle der Menschheit genutzt werden.

Annex II: Erklärung zu zukünftigen Generationen

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Die Teilnehmer ergänzten den Pakt im Anhang II durch eine Erklärung zu künftigen Generationen. Sie erkennen ihre Verpflichtungen an und leiten Schritte ein, um in ihrem Handeln künftige Auswirkungen systematisch zu berücksichtigen, vorhersehbare Schäden zu vermeiden und die Interessen künftiger Generationen zu schützen.

Bei den Vorgesprächen hatten die Mitgliedsländern eine einstimmige Annahme des Abkommens vereinbart. Zur allgemeinen Überraschung verlangte der Vertreter der Russischen Föderation kurzfristig eine Textergänzung, die eine Nicht-Einmischung der UN in nationale Zuständigkeiten zum Gegenstand hatte.[5] Sie wurde auf Antrag Kongos als Sprecher der Afrikanischen Gruppe mit einer Mehrheit von 143 gegen sieben Stimmen[Anmerkung 2] bei 15 Enthaltungen[Anmerkung 3] und 28 nicht abstimmenden Ländern[Anmerkung 4] nicht behandelt.[6] Der Pakt wurde somit mit 143 Stimmen angenommen. UN-Generalsekretär António Guterres sagte, der Pakt öffne Wege zu neuen Möglichkeiten und Chancen für Frieden und Sicherheit. Es handle sich um einen wichtigen Schritt, um die internationale Zusammenarbeit zu reformieren und die Welt vernetzter, gerechter und integrativer zu gestalten.[7]

Bundeskanzler Oliver Scholz bekräftigte anlässlich des Zukunftgipfels die Forderung nach einer Reform des UN Sicherheitsrats.[8] Kritiker bemängeln, an Stelle der von Guterres beabsichtigten ehrgeizigen Reform-Agenda hätten sich die Mitgliedstaaten am Ende nur auf den kleinsten gemeinsamen Nenner einigen können. Dem widersprach Bundeskanzler Olaf Scholz: "Damit sind ganz sicher die Probleme der Welt nicht gelöst. Aber dass man sie gemeinsam anpacken will, das ist schon etwas, das bedeutend ist." Schließlich habe man in den letzten Wochen und Monaten immer mehr Stimmen gehört, die letztendlich das Ende multilateraler Zusammenarbeit vorhergesagt hätten. Heute sei ein Zeichen dagegen gesetzt worden.[9] Der Pakt zeigt, es gibt eine kritische Masse für den Multilateralismus und für Zusammenarbeit, auch das sei nicht geringzuschätzen.[10]

Originaltext „Pact for the Future“ United Nations

  1. englisch: Sustainable Development Goals, SDGs
  2. Iran, Nicaragua, Nordkorea, Russland, Sudan, Syrien, Weißrussland
  3. Algerien, Bolivien, China, Irak, Kasachstan, Kiribati, Kuba, Laos, Malaysia, Malediven, Oman, Pakistan, Saudi Arabien, Sri Lanka, Thailand
  4. Äquatorialguinea, Afghanistan, Aserbaitschan, Argentinien, Bahamas, Bahrain, Brunei, Chad, Eryträa, Eswatini, El Salvador, Haiti, Kambodscha, Kirgisistan, Mali, Niger, Papua Neuguinea, São Paulo, São Tomé und Príncipe, Samoa, Serbien, Somalia, Tadschikistan, Turkmenistan, Usbekistan, Vanuatu, Venezuela, Vietnam, Zentralafrika.

Einzelnachweise

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  1. Pact for the Future. (pdf) Abgerufen am 23. September 2024 (englisch).
  2. Summit of the Future. In: United Nations. Abgerufen am 23. September 2024 (englisch).
  3. Zukunftsgipfel. In: Vereinte Nationen. Abgerufen am 22. September 2024.
  4. Was ist der Zukunftsgipfel? In: Vereinte Nationen. Abgerufen am 23. September 2024.
  5. Antrag auf Textänderung, 22. September 2024.
  6. (Opening & Plenary segment) Summit of the Future - General Assembly, 3rd plenary meeting, 79th session. In: UN Web TV. 22. September 2024, abgerufen am 27. September 2024 (englisch).
  7. UN-Zukunftspakt in New York verabschiedet. In: Süddeutsche Zeitung. 22. September 2024, abgerufen am 23. September 2024.
  8. Statement von Kanzler am zweiten Tag des UN-Zukunftsgipfels. In: Die Bundesregierung. 24. September 2024, abgerufen am 27. September 2024.
  9. Gegen Hunger und Wettrüsten im All: UN beschließen Zukunftspakt. In: BR24. 22. September 2024, abgerufen am 27. September 2024.
  10. Michael Bröning: „Die Nervosität war greifbar“. In: IPG. 23. September 2024, abgerufen am 27. September 2024.

Achtung: Der Sortierungsschlüssel „Zukunftspakt“ überschreibt den vorher verwendeten Schlüssel „Masliah, Eliezer“.