Benutzer:Mediatus/Spielwiese 2

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Kleinkastell Chebika
Alternativname Ad Speculum
Limes Limes Numidiae
Typ Kleinkastell
Bauweise Stein
Ort Chebika
Geographische Lage Koordinaten fehlen! Hilf mit. Vorlage:Infobox Limeskastell/Wartung/Breitengrad fehlthf

Das Kleinkastell Chebika bei Bab Nessera (lat. Ad Speculum), ein ehemaliges römisches Militärlager, dessen Besatzung für Sicherungs- und Überwachungsaufgaben am Limes Numidiae in der Provinz Numidia zuständig war. Der Limes bestand hier aus einem gestaffelten System von Kastellen und Militärposten. Dem Kastell war der Fossatum Africae, ein lineares Sperrwerk, vorgelagert. Die Anlage an der Bergoase von Chebika befindet sich im Südwesten Tunesiens.

Die Anlage Bab Nessera am rechten Ufer des Wadi el Khanga (Speculum?).

Chebika (fig. 10) est adossé à l'énorme masse du djebel Bliji, dont l'altitude en ce point dépasse 800 mètres. Le village

signale cette ruine sous le nom de Bab Nessera.
Site antique de Bab Nessera sur la rive droite de l'oued el Khanga

Aux aménagements de pistes que nous venons de décrire il faut ajouter la présence, plus à l'ouest — au débouché du Foum el Khanga — d'une petite fortification bien placée pour surveiller le prédésert aux abords du Chott, et qui pourrait être le site de Speculum. De telles installations sont caractéristiques des viae munitae citées à plusieurs reprises par saint Augustin, ils témoignent du souci d'assurer le long d'un grand axe du limes une circulation tant soit peu régulière.

Selon toute apparence un itinéraire antique utilisait donc déjà les passages balisés des Chotts. Par un de ces avatars les plus riches en suggestions, le même itinéraire deviendra plus tard celui des pèlerins de la Mecque.

Si minces qu'ils puissent paraître, ces indices archéologiques sont d'autant plus dignes d'être relevés que les sources anciennes laissaient au contraire ignorer cette liaison à travers le Chott.

Bien sûr, il faudra faire la part du halo quasi mythique dont les modernes eux-mêmes, à commencer par Tissot, ont paré à leur tour la région en l'identifiant peut-être à tort au lac du Triton des Anciens 6. En fait cette Tritonide insaisissable (lac, fleuve et île) appartient, comme l'a rappelé récemment J. Desanges, à un ensemble de données littéraires qui erre au gré des auteurs et des époques, de la Cyrénaïque à l'extrême Occident 7. Il en résulte, pour la géographie historique du Sud tunisien, une incertitude difficile à réduire et qui explique dans une large

Lage[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Forschungsgeschichte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Bei dem Versuch die Überreste des Limes Numidiae zu identifizieren, stießen Wissenschaftler während einer archäologischen Forschungsreise unter der Leitung von Abelmagid Ennabli (Tunis) und Maurice Euzennat (Aix-en-Provence) im Jahr 1974, in der Nähe von Chebika auf mehrere Fragmente römischer Meilensteine und die Reste einer Römerstraße, deren Wegmarken diese Meilensteine bildeten.[1] Frühe Aufnahmen und Beschreibungen der linearen Struktur des afrikanischen Limes hatte ein Pionier der Luftbildarchäologie, der Oberst Jean Baradez (1895–1969), abgeliefert. Südlich der Oase Chebika, so Baradez, knickt der von Südosten kommende Limes nach Westen ab.[2]

Meilensteine[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Einer der bei Chebika entdeckten fragmentierten Steine, er stammt aus Nziet Hafnaoui, trug folgende Inschrift:[3]

[Imp(erator) Caes(ar) M(arcus) Aurelius …]
[P(ius) F(elix) Aug(ustus) d]ivi
Septimi Severi
[ne]p[o]s divi M[a]g-
ni Anto[nini Pii]
[filius pont(ifex) max(imus)]
[trib(unicia) pot(estate) …

Aufgrund des schlechten Zustandes der Inschrift kann die kaiserliche Titulatur als jede des Kaisers Elagabal (218–222) oder der des Severus Alexander (222–235) gelesen werden.

Baugeschichte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Fundgut[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Literatur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  • Jean Baradez: Fossatum Africae. Paris, 1949, S. 109–111.
  • Pol Trousset: Reconnaissances archéologiques sur la frontière saharienne de l'Empire romain dans le Sud-Ouest de la Tunisie. In: Actes du 101e Congrès des Sociétés Savantes, Lille, 1976. Paris, 1978, S. 21–33.
  • Pol Trousset: Les milliaires de Chebika (Sud Tunisien). In: Antiquités africaines 15, 1980, S. 135–154.

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Kastell Praesentia (?)/Nag el-Hagar[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  1. Pol Trousset: Les milliaires de Chebika (Sud Tunisien).. In: Antiquités africaines 15, 1980, S. 135–154; hier: S. 135.
  2. Jean Baradez: Fossatum Africae. Paris, 1949, S. 109–111.
  3. AE 1980, 00950.