Benutzer:Shi Annan/Célestine Ketcha Courtès

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Célestine Ketcha Courtès - 2016
Célestine Ketcha Courtès - 2016
Discours de Célestine Ketcha Courtès lors du festival du Macabo en 2011, à Bangoua.

Célestine Ketcha, verh. Courtès (* 13. Oktober 1964, Maroua, Extrême-Nord, Kamerun) ist eine Politikerin und Geschäftsfrau in Kamerun.[1][2] Sie diente als Bürgermeisterin (maire) der Stadt Bangangté von 2007 bis 2018. Seit Dezember 2015 ist sie Präsidentin des Réseau des Femmes Élues Locales d’Afrique (REFELA) und Repräsentantin für Zentralafrika[3][4][5] Elle est également présidente de la section REFELA-CAM.

Am 4. Januar 2019 wurde sie est nommée par décret présidentiel du chef de l'État Paul Biya, ministre de l'Habitat et du Développement urbain dans le gouvernement Joseph Dion Ngute[6].

Présentation des vœux à la Première dame Chantal Biya (2014).

Formation et carrière professionnelle[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Titulaire d'un baccalauréat A4, Célestine Ketcha obtient par la suite un brevet de technicien supérieur en techniques commerciales et un diplôme d'études supérieures de commerce et d'économie. Elle intègre par la suite les Cimenteries du Cameroun comme cadre commercial et marketing avant de s'adonner exclusivement aux affaires[1].

Parcours politique[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Célestine Ketcha est militante du RDPC. Elle est présidente de l'OFRDPC - organisation des femmes liées à ce parti, à Bangangté[3]. Maire de Bangangté[7] depuis 2007 et réputée dynamique[8], elle est active dans la vie sociale et administratives des communes environnantes[9]. Son dynamisme sur le plan politique lui vaut de nombreux procès dont l'un l'opposant à Célestin Ketchanga dans l'affaire Queen Fish[10]. En 2015, elle succède à Fatimatou Abdel Malick à la tête du Réseau des femmes élues locales d’Afrique[11].

Affaires[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Condamnation[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

En Juli 2011, lors de l'affaire Queen Fish[10], Célestine Ketcha Courtès est condamnée par le tribunal de grande instance du Wouri à un an d'emprisonnement[12] avec trois ans de sursis et à plusieurs amendes au trésor public et à son frère, le député Célestin Ketchanga. Reconnue non coupable d'usage de faux en écriture de banque, Célestine Ketcha Courtès est toutefois jugée coupable d'abus de biens sociaux et de crédits. Ses avocats, qui ont fait appel, entendent se pourvoir en cassation[13]Vorlage:,[14]. Renvoyée au 23 décembre 2014, la sentence de l'affaire Queen Fish est rendue le 8 janvier 2015 à la Cour d'appel du Littoral. Les juges condamnent Célestine Ketcha à payer à Célestin Ketchanga des dommages et intérêts. Les juges ont confirmé les décisions du jugement rendu en instance pour faux et usage de faux, abus de biens sociaux et détournement de 50 millions de Francs CFA. La chambre correctionnelle de la Cour d'appel a confirmé la sentence retenue par le tribunal de Grande instance du Wouri mais réduit la sentence sur des intérêts civils[15].

Interruption d'un office religieux à Paris.[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Dimanche 11 octobre 2020, Calibri Calibro et ses compagnons font irruption dans une église catholique en France où se trouve Célestine Ketcha-Courtes ainsi que ses proches et scandent des propos hostiles à la ministre de Paul Biya: « Vous avez le diable dans la maison monsieur le curé. Cette famille tue les gens, cette famille c’est des assassins. Cette famille verse le sang des Camerounais ». Le prêtre interrompt l'office et les lieux sont vidés[16].

Polémiques[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

En mars 2024, lors de son passage à l’Extrême-Nord du Cameroun Célestine Ketcha Courtès pose la question a son auditoire : « il y avait quoi avant ? » demandant à ses auditeurs d'aller informer les populations des actions constructives du régime de Paul Biya[17]. La vidéo devient virale sur la toile et crée une polémique[17]. Certains y voient du dédain envers la situation préexistante dans la région. La ministre fait un communiqué pour expliquer et mettre du contexte à ses propos.

Cette polémique inspire Richard Bona, icône de la musique camerounaise, qui répond à la ministre en composant une satire "il y avait quoi avant" dans laquelle il énumère les nombreuses sociétés camerounaises ayant existé au temps d'Ahmadou Ahidjo et disparues sous l'ère de Paul Biya[18].

Distinctions honorifiques[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Voir aussi[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Commons: Célestine Ketcha Courtès – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

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Einzelnachweise[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  1. a b La camerounaise Célestine Ketcha Courtès accède au trône du Refela. In: Le Bled Parle: Actualité news et tendances Africaines. Abgerufen am 15. Februar 2016 (französisch).
  2. Les femmes d’affaires gagnent du terrain au Cameroun. In: Agence Ecofin. Abgerufen am 15. Februar 2016 (französisch).
  3. a b CAMEROUN: COP 21: Célestine Ketcha Courtes est à Paris. In: camer.be. Abgerufen am 15. Februar 2016 (französisch).
  4. Diplomatie: Célestine Ketcha Courtès prend les rênes du Réseau des Femmes Elues Locales d’Afrique (REFELA). Actualite au Cameroun et en Afrique. In: www.africapresse.com.
  5. Le Matin: La présidente du Réseau des femmes élues locales africaines rend hommage à l’action inlassable de S.M. le Roi en faveur de l’Afrique. In: lematin.ma.
  6. Fred Bihina, « Cameroun - Remaniement ministériel : voici tous les nouveaux ministres », cameroon-info.net, 5 janvier 2019.
  7. Bangangté/RDPC :Comprendre le vote-sanction des militants au profit de Célestine Ketcha. Actualite au Cameroun et en Afrique..
  8. Douala: Le maire de Bangangté accusé d-avoir cassé une caméra de Stv..
  9. Afficher les éléments par tag: Mairie..
  10. a b BIP 2015: Célestine Ketcha prise en flagrant délit | Actualite au Cameroun et en Afrique..
  11. ?.
  12. ?
  13. Vorlage:Lien web
  14. [1] Affaire Queen Fish: Un an de prison pour le maire de Bagangté
  15. Vorlage:Lien web
  16. Vorlage:Lien web
  17. a b Vorlage:Lien web
  18. Vorlage:Lien web
  19. Vorlage:Lien web

[[Kategorie:Kameruner [[Kategorie:Geboren 1964]] [[Kategorie:Gestorben ]] [[Kategorie:Frau]] {{Personendaten |NAME= Ketcha Courtès, Célestine |ALTERNATIVNAMEN= |KURZBESCHREIBUNG= kamerunische Politikerin |GEBURTSDATUM= Oktber 1964 |GEBURTSORT= |STERBEDATUM= |STERBEORT= }} Femme d'affaires camerounaise]] [[Catégorie:Ministre camerounaise]] [[Catégorie:Ministre camerounais du Logement]] [[Catégorie:Naissance en octobre 1964]] [[Catégorie:Naissance à Maroua]] [[Catégorie:Titulaire de l'ordre de la Valeur]] [[Catégorie:Maire au Cameroun]]